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18/01/2016

Ma semaine télé du 11 au 17 janvier

« Quand je suis arrivé à la maison, j’ai ouvert la porte et j’ai trouvé ma mère par terre. La tête en sang. Le vieux, lui, il était assis devant la télé, à moitié endormi. Je me rappelle pas grand-chose d’autre. » Fredrik Ekelund « Blueberry Hill »

 

Lundi, pas très envie de télé alors je fais court avec un épisode de Castle sur France2. Comme d’habitude, humour et charme mais aussitôt vu aussitôt oublié.

Mardi rebelote, mais cette fois sur TF1 avec Person of interest. Rien qui ne me passionne vraiment dans cette série si ce n’est le personnage d’ Harold Finch, binoclard et boiteux, que je trouve sympa. C’est tout ? Bah ouais…

Mercredi, football sur France3 et Coupe de la ligue avec PSG/Lyon. Contrairement aux propos avancés par son président JM Aulas, les Lyonnais n’étaient pas montés à la capitale pour faire de la figuration. Un bien beau match, finalement très équilibré avec de belles actions et de beaux arrêts des deux gardiens, mais il fallait un vainqueur et ce fût le PSG (2-1) – nous ne gloserons pas sur le but litigieux des Parisiens. Une bonne soirée.

Vendredi sur France2 pour une série policière française que je ne connaissais pas, Chérif. Après un épisode au scénario plus qu’affligeant j’ai éteint mon poste. Les scénaristes français des séries télé ont quand même un sacré problème, entre le manque d’imagination et le peu de crédibilité de leurs histoires, ils ruinent par avance tout le potentiel éventuel des acteurs et réalisateurs.

Samedi sur France3 et Le sang de la vigne. Ce soir, très bon épisode de cette série, étonnement musclé – selon les critères de la chaine bien sûr – mais quand c’est bon, il faut le dire. L’équipe était au complet autour de Pierre Arditi et Judith Magre apportait son petit plus. Bonne soirée.

jean gabin, lino ventura, séries téléviséesDimanche comme tous les dimanches. Soient des rediffusions de films beaucoup trop longs ou se prêtant mal au petit écran, soient des programmes qui ne m’attiraient pas. Pour trancher, j’ai opté pour Touchez pas au grisbi sur D8, film de Jean Becker (1953). Certes pour de la rediffusion c’en était mais avec Jean Gabin et Lino Ventura tout en Noir&Blanc, j’étais certain de jouer gagnant.

 

Une semaine de télé d’intérêt plus que moyen mais je ne vais pas pleurer pour si peu. Ca sera mieux une autre fois. Non ?