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17/01/2008

Ce qui est pris n'est plus à prendre

Après maint et maint report, acculé pour ne pas dire mis en demeure d’obtempérer au plus vite par « la pétrolette », le chef nous a payé la galette. Pour moi l’Epiphanie n’était plus que de l’histoire ancienne et je ne pensais pas remettre le couvert aussi tôt, mais quand une idée est bonne je ne vois pas pourquoi je ne la suivrais pas. Entre deux réunions, il a découpé la gourmandise en essayant de laisser cachée la fève tandis que j’ouvrais les bouteilles de cidre. Chacun a évoqué un souvenir personnel lié à cette pâtisserie, certains ont même évoqué la possibilité de faire des crêpes voire des beignets (!) au bureau quand ce sera La Chandeleur … Rien n’est encore signé, tout est donc possible.  La galette engloutie, les bouteilles vidées sans effort apparent, le chef est reparti vers une autre réunion, tout guilleret et l’œil brillant ! Ce qui nous a permis de faire une petite sieste digestive. Une bonne journée.