Ma semaine télé du 8 au 14 décembre

« Le son de la télé était coupé, mais le barman la regardait tout de même : un procès de série américaine, où les personnages faisaient de nombreuses allées et venues entre des murs gris. De temps en temps, il y avait un gros plan d’une femme qui s’efforçait d’avoir l’air inquiet. » Ian Rankin  La Colline des chagrins

 

Lundi sur France2 pour Castle mais ma persévérance est récompensée car l’épisode était très bon. Kate dérouille et ne s’en sort que de justesse tandis que le vieux meurtre de sa mère est rappelé à son souvenir. Ensuite je file sur ARTE où a débuté le film de Michael Curtiz (1938) Robin des bois, avec Errol Flynn. C’est la nième fois que je vois ce film et à chaque fois il me rappelle mon enfance… Robin des bois, Les Trois lanciers du Bengale, les westerns de John Wayne… que de bons souvenirs des jours heureux.

Mardi sur TF1 le Mentalist prend une tournure franchement nunuche avec les tendres atermoiements entre Teresa et Patrick et je ne vois pas où tout cela va nous mener ? L’ennui gagne… 

Mercredi, la journée avait été rude et stressante, alors le soir il me fallait un programme qui se suive sans effort comme celui proposé par France5, La maison France5 suivi de Silence, ça pousse ! Visite de jolies maisons d’abord puis les rois du jardinage, Stéphane Marie et son bras droit Noëlle Bréham pour un fameux tandem bien relaxant. Parfait pour cette soirée.

Vendredi sur M6 je retrouve Elementary et son ersatz de Sherlock Holmes. Sans sauter au plafond, la série me convient même si je ne suis pas aveugle à ses points faibles. On aime ou pas, on ne sait pas toujours pourquoi mais il en est ainsi. 

Dimanche soir, difficile de ne pas revoir sur ARTE, La poursuite impitoyable, film d’Arthur Penn (1966) avec Marlon Brando, Robert Redford et Jane Fonda, excusez du peu ! Les classiques sont éternels nous en avons la preuve.

 

Une semaine de télé bornée par deux vieux films, oui mais de qualité, comme quoi la bonne soupe se fait dans les vieux pots. Un dicton à la con, diront certains, mais qui néanmoins recèle une part de vérité…