Ma semaine télé du 2 au 8 mars

« C’est cela mon choix ! Ne pas finir dans un mouroir, attaché à un fauteuil, avec la télévision qui braille. » Edouard Moradpour « Nous parlions d’amour de peur de nous parler d’autre chose »

 

Mardi sur M6 pour un épisode de Péplum. Dans la Rome antique, un ancien esclave est devenu conseiller de l’empereur. Traité dans le même esprit que Kaamelott, un humour décalé gentiment souriant. Ca se regarde mais si on loupe un épisode on n’en meurt pas non plus.

Mercredi sur France3, Coupe de France de football avec PSG/Monaco. Le PSG sans Zlatan c’est Paris sans la Tour Eiffel, ce qui a dû dégouter les monégasques d’être venus dans la capitale pour rien. Totalement absents de la rencontre, les rouge et blanc sont éliminés, battus 2-0 à l’issue d’un match très moyen par leur faute. On a du mal à comprendre le foot parfois, comment peut-on être si transparent dans un match si important et toujours aux avant-postes en Champion’s League et en championnat ?

Jeudi sur ARTE derniers épisode de la courte série The code. Je ne sais pas pourquoi mais je n’ai pas réellement été séduit par ce programme. Objectivement, tout était bien, le thème, l’action et les acteurs mais pourtant… Peut-être l’agacement de voir certains se complaire à tout faire pour se mettre dans les emmerdements ? 

Vendredi sur M6, Elementary. J’ai eu un peu de mal au début avec cette série, mais désormais rendez-vous systématique du vendredi soir. Watson s’est mise à son compte, Sherlock parti en Angleterre subitement est de retour avec une assistante débutante. Après des tensions entre ces trois personnages, il semble qu’on se dirige vers un modus vivendi, le duo devenant trio… ?

Enfin dimanche soir, Les enquêtes de Morse sur France3 pour clore ma semaine dans la tradition des Inspecteur Barnaby ou Lewis, des polars en Grande-Bretagne où personne ne se la pète. Rien n’est génial mais tout est suffisamment bien torché pour me satisfaire.

 

Petite semaine de télévision mais je ne me plains pas, il y a une vie en dehors du petit écran. On ne le répétera jamais assez !