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16/12/2013

Ma semaine télé du 9 au 15 décembre

« La série est mauvaise comme la télé mexicaine est mauvaise ; mauvaise parce que outrancièrement stylisée. Tellement mauvaise qu’elle en devient bonne. Très souvent, d’ailleurs, même si là, quelque part, le génie de sa médiocrité me dépasse, je ne capte pas ce qui se raconte… » John Jeremiah Sullivan  Pulphead

 

Lundi sur ARTE avec un film de Stephen Elliott (2008), Un mariage de rêve avec Kristin Scott Thomas que je trouve toujours épatante. Dans les années 1920, la jeune femme américaine et délurée du fils d’une noble famille anglaise, créé une certaine effervescence en arrivant dans le manoir familial. Un ton humoristique décalé et des répliques vachardes avec une fin plus nostalgique. Une bonne surprise, sans crier au chef-d’œuvre. 

131216 Paris with love.jpgJeudi sur M6 pour From Paris with love, un film de Pierre Morel (2010). S’il n’y avait eu à l’affiche Jonathan Rhys Meyers et John Travolta, j’aurais éteint le poste au bout de dix minutes, des fusillades nourries durant tout le film et des monceaux de cadavres, ne faisant pas un scénario. J’ai bien vu l’humour au second degré mais seul le tandem improbable des deux acteurs m’a retenu devant l’écran. Bof !

Vendredi sur France2, Deux flics sur les docks, la série policière avec Jean-Marc Barr et Bruno Solo. Comme dans l’épisode de la semaine dernière, même musique mais paroles différentes, un peu anesthésiant mais il y a quelque chose d’intéressant au niveau du ton et de l’esthétisme qui sauve l’ensemble. Pas mal.

Samedi sur D8 je garde en ligne de mire la série Longmire. Le shérif du Wyoming mène ses petites enquêtes sans s’affoler ni effaroucher les téléspectateurs. C’est sympathique sans donner envie de se relever la nuit, ni même d’enregistrer un épisode qu’on aurait raté. Cool quoi.

Dimanche soir sur ARTE pour ce classique de Blake Edwards (1961) Diamants sur canapé, avec Audrey Hepburn et George Peppard. Une romance hollywoodienne à l’ancienne dominée par la présence irradiante d’Audrey Hepburn. Du grand art à savourer sans retenue.  

 

Encore une de ces semaines de télé où j’ai essayé divers programmes mais que j’ai abandonnés au bout d’un quart d’heure. Heureusement que dans le tas, quelques bricoles ont satisfait mes besoins de téléspectateur. 

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