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25/09/2014

Histoire de cul

Avec un titre de billet de cet acabit, je devrais faire un carton en termes de fréquentation de mon blog. On ne peut pas toujours vouloir s’exempter de ces facilités qui attirent les lecteurs à défaut du beau monde.

Ecrire un papier sur le papier c’est un peu casse-gueule, surtout si ce papier est au rayon PQ dans votre supermarché. Car c’est ici que le cul entre en scène, à reculons peut-être, mais ne nous voilons pas la fesse, il y en a.

Bon, j’arrête les frais et signale l’aiguillage. Ceux qui sont venus pour la « chose » peuvent nous quitter ici, les autres me suivront sur un autre tronçon qui n’est guère éloigné des préoccupations de Que Choisir ? et autres organismes de défense des consommateurs. Je voudrais qu’on aborde le cas de l’achat de PQ en magasin.

Je vous vois sourire, pourtant ce n’est pas un acte gratuit. La preuve, si vous achetez un paquet de papier qui ne vous convient pas, vous allez en baver (oui, j’avais le choix avec un autre verbe) jusqu’à ce qu’il soit épuisé, or comme les magasins vous les fourguent par quantités astronomiques, votre malheur va durer longtemps.

Devant le rayon, deux choix s’offrent à vous dans un premier temps : ceux qui font dans le papier feuille à feuille et ceux qui préfèrent le rouleau. Personnellement je suis de cette seconde catégorie, moins pas choix réel que par hasard induit par le support accueillant mon torche-cul. Maintenant que vous assumez votre camp, reste à déterminer quelle marque prendre ? Je mets de côté l’angle financier – qui n’est pas mineur néanmoins puisqu’on constate des écarts de prix conséquents entre elles.

Je ne m’attacherais qu’à l’aspect confortable de l’objet. Double épaisseur, triple épaisseur et que sais-je encore. Il devrait y avoir un exemplaire en démonstration, que le consommateur puisse en tâter la texture, le grain et à partir de-là en déduire le plaisir espéré. On pourrait aussi vérifier si les feuilles se séparent aisément les unes des autres, ou s’il faut s’y prendre à deux mains ce qui l’éliminerait aussitôt.

Dans le cas des rouleaux, il y a un autre point vachement important à prendre en compte, c’est l’entame d’un nouveau. L’amorce est scellée et certaines marques obligent à saccager le papelard pour en trouver le début. Je me suis vu au bord de la crise de nerf à tenter de dégager un commencement de PQ utilisable, le sol jonché de déchirures et de feuilles réduites en miettes. Souvent, plus le papier est fin, plus difficile est de l’entamer. Et comme aussi, plus il est fin, plus on se tâche les doigts, le papier cigarette n’a jamais fait son trou dans cette utilisation.

Alors quand enfin vous avez déniché votre PQ préféré, surtout n’en changez pas, sinon vous risquez de retomber dans les emmerdements précédemment cités.

 

05:00 Publié dans Echos de ma vie | Tags : cul, pq | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | |

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