Ma semaine télé du 31 août au 6 septembre

Branle-bas de combat à Canal+, Vincent Bolloré prend la présidence du conseil de surveillance de la chaine et remanie l’organigramme et les programmes. Remaniement du Grand Journal et les Guignols passent en diffusion cryptée, quant aux autres chaines du groupe, D8, D17 et i-Télé, elles seront rebaptisées C8, C17 et Cnews. De son côté, le service public planche sur la création d’une chaine d’informations en continu, une de plus, une de trop selon la concurrence (BFM TV). Le PAF s’agite, on ne sait pas trop ce qui va en gicler.

 

Lundi sur France2 avec Castle. Le mystère sur la disparition durant deux mois de Richard Castle reste inexpliqué, lui n’a plus aucun souvenirs et des éléments nouveaux épaississent cet évènement incompréhensible. Soirée gentille et sympa.

Mardi sur TF1 pour le Mentalist. Même si je regarde régulièrement cette série, je n’en suis pas un fan car une fois qu’on a vu quelques épisodes, le « pouvoir » de déduction du héros finit par lasser et comme les scénarios ne sont pas folichons… Ce soir c’était le pompon, une intrigue nulle à pleurer et rien d’autre à se mettre sous la dent. Vivement que Patrick Jane prenne sa retraite avec Lisbon.

Jeudi sur ARTE suite de la série The team. Le scénario retors continue à me scotcher devant mon écran même si des invraisemblances émergent de-ci, de-là et je ne suis pas certain de tout bien comprendre… J’attends la semaine prochaine avec impatience pour connaitre le dénouement de cette invraisemblable histoire. 

Vendredi sur France2, Les petits meurtres d’Agatha Christie font mon ordinaire. Une série gentiment souriante de laquelle je n’attends rien et qui donc ne me déçoit pas. Un gros avantage par rapport à un autre programme comme le match de football Portugal/France diffusé sur TF1 à la même heure ; au moins, là, je ne me suis pas énervé !

Dimanche je vote pour ARTE et une rediffusion du film de Michel Deville (1974), Le mouton enragé, pour le plaisir de revoir une brochette d’acteurs comme Romy Schneider, Jean-Louis Trintignant, Jean-Pierre Cassel… Une autre époque, si proche et si lointaine à la fois. Une bonne soirée.

 

Une semaine de télé gentillette, sans pics particuliers, ni hauts ni bas, dont le seul mérite est d’abolir toute critique. Peut-être n’est-ce pas plus mal ?