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21/10/2015

Entre quat ‘yeux

Le temps du contrôle technique étant venu j’ai trimballé ma carcasse chez le spécialiste. Je ne plaisante pas avec ça, mes yeux, j’y tiens comme à la prunelle…. Heu ! Bon, vous m’avez compris. Mon activité préférée étant la lecture, je ne peux pas me permettre d’ignorer que je porte des lunettes et régulièrement une mise au point s’impose.

Le problème avec l’ophtalmologiste, c’est le fond de l’œil. Pas le sien, bien sûr, mais le mien. Les gouttes dans les yeux, les pupilles qui se dilatent, « Tout va bien, vous me devez soixante cinq euros ! » Les mirettes en folie et qui me chauffent, je rédige péniblement mon chèque - car ici la Carte Bleue n’a pas cours – puis titubant, la vue brouillée par les larmes, je me dirige vers la sortie du cabinet. A passage, notez ce paradoxe, en général on va aux cabinets affligés mais on en sort guilleret, là c’est tout le contraire.

Durant une éternité je vais avoir une vue floue, une tendance certaine à vouloir fermer les paupières ou pour le dire plus simplement, je vais être agacé pendant un bon moment et quand je suis comme ça, je ne peux plus le voir mon ophtalmo !  

 

14:26 Publié dans Echos de ma vie | Tags : yeux, oeil | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | |

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