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03/12/2012

Ma semaine télé du 26 novembre au 2 décembre

« Ce qui importait le plus ici, c’étaient les programmes de télévision. On pouvait parfaitement se passer des informations mais le tirage de la loterie ne devait être manqué à aucun prix. Ni d’ailleurs « les jeux de la soirée » ou le film d’action qui suivait. » Anne Tyler Le Voyageur malgré lui

 

Lundi sur France2 un très bon épisode de Castle. Une jolie pépée en suspecte, un chien attendrissant, Kate Beckett moins froide avec Castle, quasiment une production Walt Disney ! Après cela, il était temps de zapper sur ARTE pour revoir Parfum de femme, ce grand film de Dino Risi (1974) avec Parfum de femme.jpgl’immense Vittorio Gassman et la mignonne Agostina Belli. Rappelons-nous qu’il fut un temps où le cinéma italien regorgeait de talents et produisait des chefs-d’œuvre…    

Mardi, j’abandonne le Mentalist sur TF1 pour m’aérer sur France3 avec du football et le quart de finale de la Coupe de la Ligue, Saint-Etienne/PSG la grosse affiche attendue par tous. Un match très agréable à suivre, les deux équipes faisant jeu égal surtout dans l’incapacité à se créer de réelles occasions de buts, les deux défenses étant parfaitement en place et même la girafe suédoise ne put tirer son épingle du jeu. Finalement après le 0-0 à l’issue des prolongations, on en vint aux tirs aux buts et l’ASSE torcha le PSG, gagnant sa place pour le tour suivant. L’équipe parisienne n’est pas encore morte, mais les Verts l’ont bouffée une fois encore !

Jeudi sur ARTE pour Borgen. Le pouvoir et la politique changent les hommes ou les femmes quelles que soient leurs bonnes intentions au départ. Entre ses enfants à élever, son divorce à gérer, des marins enlevés par des pirates en Somalie, une affaire de chantage homosexuel débouchant sur un suicide dans son gouvernement, l’éclatement de la coalition gouvernemental et un remaniement ministériel, Birgitte Nyborg la première dame du Danemak a fort à faire. Sans compter les affaires sentimentales des unes et des autres, le rôle des journalistes et leur place dans le monde politique etc. le spectateur n’a guère le temps de s’ennuyer.

Vendredi sur TMC qui a eu la bonne idée de rediffuser (pour la nième fois d’accord) la série Hercule Poirot. Un héros dont je ne me lasse jamais, surtout dans cette version avec la silhouette rondouillarde et particulièrement soignée du détective belge magistralement interprétée par David Suchet, faut-il le répéter. Qui plus est, ce soir dans l’épisode du Train Bleu, il y avait aussi Elliot Gould à l’affiche. Tout cela ne pouvait que réjouir mes petites cellules grises. 

Samedi sur France3, Le sang de la vigne, une série policière dans le milieu vinicole. Si l’intrigue tenait la route, tous les acteurs n’étaient pas au même niveau, mais j’étais venu pour Pierre Arditi et Dominique Pinon qui remplirent leur contrat. Globalement, un petit cru mais qui se laissait boire. 

Dimanche soir j’écarte Les tontons flingueurs, chef-d’œuvre vu cent fois, j’enregistre sur ARTE, Tolstoï le dernier automne, car il y a Helen Mirren toujours fabuleuse et je me plante devant France3 pour mon épisode des Enquêtes de Murdoch qui reste toujours le meilleur choix pour terminer la semaine en beauté. On ne change pas une équipe qui gagne.

 

Toujours le même problème. Un seul épisode inédit de Castle – série déjà bien mince - qui laisse sur notre faim, idem pour Les enquêtes de Murdoch, mais trois de Borgen – série bien copieuse – qui gavent un peu. Le menu est mal élaboré. Appelez-moi le diététicien en chef que je lui en touche deux mots !