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01/11/2008

La malédiction de la citrouille

Hier soir quand les gamins ont commencé à cavalcader dans l’escalier et sonner aux portes pour obtenir des bonbons, inutile de vous dire que je n’ai pas ouvert. C’est que je suis très soucieux de la santé des dents des enfants, hin ! hin ! hin ! Maintenant je ne sais pas si il faut y voir un rapport mais quand je me suis couché j’ai senti une petite douleur au bas des reins et ce matin j’ai failli ne pas pouvoir me lever tant la douleur était intense. Après mille contorsions, j’ai réussi à me sortir du lit et me traîner jusqu’à la table du petit-déjeuner. Après ce fut l’enfer, assis ou debout j’avais mal au bas du dos. Bien entendu mon médecin était parti en week-end ou faire la tournée des cimetières, bref après m’être allongé une heure ayant repris du poil de la bête j’ai filé aux urgences de la clinique la plus près de chez moi. Le mot urgence est un faux ami, car il ne faut pas être pressé pour s’y faire soigner. Arrivé à 9h30 j’en suis ressorti à 14h30 ! Remarquez je comprends, quand je me suis inscrit au bureau d’admission, je n’avais plus mal, alors quand les crises cardiaques, les plaies purulentes et autres cas gratinés ont déferlé j’ai bien pensé qu’ils m’avaient oubliés. A force d’attendre la douleur est revenu et ils on réussi à me dénicher un brancard pour que je m’y allonge. Après une attente interminable o ma fat des radios, puis à l’issue d’une autre interminable attente on m’a examiné et il semblerait que j’ai une légère arthrose vertébrale. Enfin ils m’ont libéré avec une ordonnance et l’ordre de consulter au plus vite un rhumatologue. Pour aujourd’hui la malédiction de la citrouille n’était pas trop puissante car j’aurais pu ne pas avoir de pharmacie ouverte dans mon coin, mais ce n’était pas le cas. Donc je finis de taper cette note et je file m’allonger un petit moment.