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26/10/2014

Ca c’est passé cette semaine

La seule vraiment bonne nouvelle de la semaine, c’est le changement d’heure qui s’est produit cette nuit. On a pu dormir une heure de plus et c’est épatant. Je sais qu’il en est qui disent que mourir c’est dormir, ou quelque chose d’approchant, mais laissez-moi vous dire que c’est une grosse erreur. La preuve, si c’était vrai on nous enterrerait en pyjama !

Sinon, « ils » se sont tous passé le mot. « Ils » désignant les hommes politiques. Leur super idée géniale du moment, changer le nom de leurs partis politiques. Sarkozy, veut tout refaire dans la baraque et modifier le nom sur le portail de sa boutique. Les socialistes eux, risquent fort de divorcer et les époux partir chacun de son côté, pour fonder deux nouveaux foyers, les de gauche gauche et les de gauche droite, chaque maison rebaptisée à son idéologie. Même les gars de la Marine envisagent de modifier le nom de leur marque, histoire de prendre définitivement le large avec le passif du borgne. Bon et alors ? C’est comme les grands magasins, ils changent la décoration, ils modifient l’emplacement des rayons, mais si l’assortiment reste le même avec des prix identiques, qu’est-ce que le consommateur y gagne réellement ?

Après le décès tragique de Christophe de Margerie, l’homme à la moustache de Total, Thierry Desmarest est nommé président. Comme le rappelle Le Monde (24/10/2014) : « il avait dirigé le groupe entre 1995 et 2010, le hissant au rang de major. Sa présidence avait été marquée par plusieurs catastrophes (…) comme la marée noire de l’Erika en 1999, l’explosion de l’usine AZF de Toulouse en 2001. » Il sera peut-être difficile de faire mieux, mais aussi bien pourquoi pas ?

Rassurez-vous, ailleurs aussi on sait s’amuser. Aux Etats-Unis, Anita Sarkeesian, une sociologue féministe s’attaque depuis plusieurs mois au sexisme dans les jeux vidéo, ce qui lui vaut moult injures et menaces de mort. Le 14 octobre elle a du annuler une conférence qu’elle devait donner à l’Université de l’Etat d’Utah quand un courriel a averti les membres de l’administration, qu’une fusillade éclaterait pendant l’évènement, « le pire massacre de l’histoire américaine ». La police avertie ne pouvait rien faire, car selon la loi en vigueur dans l’Utah, «la police du campus ne pouvait pas empêcher des personnes armées de venir assister à sa conférence. » Courrier International du 23/10/2014.  

Ne vous affolez pas, ce sera peut-être pire encore la semaine prochaine…