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12/10/2009

Ma semaine télé du 5 au 11 octobre

Mardi j'ai hésité à revoir Ah ! Si j'étais riche sur France3, j'ai allumé le poste au milieu de la soirée pour voir la bonne bouille de Jean-Pierre Darroussin mais j'ai rapidement abandonné la partie que j'avais déjà jouée. Ce n'est que jeudi sur France5 que je me suis réellement installé ROTH.jpgdevant ma télé pour suivre La grande librairie. Ce soir l'émission s'était déportée à New York pour un entretien avec un invité unique, Philip Roth. Quelques images de la ville qui ne dort jamais et interview de personnes connaissant l'écrivain et son œuvre pour en dresser la personnalité. Enfin, interview décontractée avec le grand romancier américain semblant en pleine forme à près de 76 ans.

Vendredi sur France2 dans la série Contes et nouvelles du XIXème siècle, adaptation d'une nouvelle de Courteline, Boubouroche. L'homme, la femme et l'amant, le trio fameux qui tout comme les pommes de terre, se prête à toutes les sauces. Un cocu grandiose, aveugle à toutes les preuves fournies par son voisin et même à la présence de l'amant dans un cagibi de l'appartement, gobera toutes les explications fournies par sa maîtresse qui ira jusqu'à le pousser à l'épouser et continuer ses manigances impunément. La rouerie féminine comme un grand art. Très amusant - dans ce genre déjà largement vu et revu - mais gâché à mon goût, par Bruno Putzulu qui jouait le cocu comme s'il s'agissait d'un personnage de dessin animé, sa voix étant particulièrement pénible.BOUBOUROCHE.jpg

Samedi je fais l'impasse une fois de plus sur la prestation footballistique des Bleus contre les îles Féroe, le résumé demain sur TF1 à Téléfoot suffira largement, je me cale sur ARTE car Les Tudor tiraient leur révérence. Les protagonistes se repositionnent, le cardinal Wolsey exclu du jeu en vient à se suicider, la sœur du roi décède de la tuberculose, Cromwell nouveau chancelier mène au bûcher ses premiers hérétiques, Henri VIII ne pouvant obtenir de l'église son divorce d'avec la WOLSEY.jpgreine prend ses distances avec le pape, les Boleyn accèdent au pouvoir et la fille Ann cède - enfin ? - aux coups de butoir du roi. Ainsi se termine la première saison de cette série. Dix épisodes remarquables mais les cinq dernières minutes de la fin, me laisse un goût amer de pas fini. C'est toujours le même problème avec ces séries, on excite la curiosité du spectateur pour qu'il attende la saison suivante avec impatience mais comme elle ne sera diffusée que dans un an peut-être, on reste sur sa faim et finalement ça gâche le spectacle.  

Dimanche j'enregistre le film de Richard Donner sur TF1 avec Bruce Willis, 16 Blocs (2006) que je regarderai un jour prochain et je glisse lentement dans les bras de Morphée avec l'Inspecteur Barnaby sur France3. Une très petite semaine télé en vérité, je vous le dis. 

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