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18/03/2013

Ma semaine télé du 11 au 17 mars

« Dans les prochains mois, l’opérateur de télévision par satellite BSkyB sera le premier à riposter à Internet avec son propre service de publicité personnalisée. Pour la première fois, les publicités sur les chaînes britanniques pourront s’adresser spécifiquement à certains foyers en fonction de leur composition, de leur localisation ou de leurs programmes préférés. (…) Pour les publicitaires, le prochain débat portera sur le coût. Si un ciblage plus précis et donc plus efficace est séduisant, il reste à en déterminer le juste prix. Les négociations ont déjà commencé. » Financial Times Londres

 

Mardi sur TF1 avec le Dr House qui a déserté son hosto pour ces deux épisodes. Il se consacre à son copain Wilson atteint d’un cancer en le soignant chez lui par une chimio de choc, puis en se laissant embarquer dans une virée entre mecs, genre « dernière volonté au cas où ». Quand le patron n’est pas là, Chase tient la boutique et se découvre de l’ambition au point de filer sa démission pour partir monter sa propre équipe ailleurs. Et alors ? A suivre….

Mercredi soir, voyez comme les choses sont bien faites encore que là, la divine providence n’y soit certainement pas étrangère, c’est durant les JT de 20h que le nouveau pape a été élu. On ne pouvait faire mieux, pour ceux que cela intéresse bien sûr. Le monde catholique a donc son François l’Argentin, nous autres Français nous contenterons de notre François de Hollande.

Jeudi soir sur ARTE suite de la mini-série The Hour. Ce soir tout était bien mystérieux, pour ne pas dire incompréhensible parfois, dans l’enquête menée par le journaliste après la mort de son amie ; les services secrets britanniques semblent impliqués, tandis qu’en toile de fond, chars russes en Hongrie et guerre en Egypte autour du Canal de Suez donnent de la consistance à ce polar moyen. Ajoutons néanmoins, une belle image et des acteurs ayant beaucoup de caractère, très présents à l’écran.

Vendredi sur France3 vers 20h, alors que l’épisode neigeux s’estompe et que nous retrouvons des conditions climatiques plus habituelles, la dame de la météo Fabienne Amiach, nous annonce que « La perturbation s’incline en se redressant. » Stupeur et tremblements.

Samedi, sur France2 dernière journée du Tournoi des VI nations en rugby. On ouvre avec Italie/Irlande et des Italiens qui progressent année après année. Incapables de plier le match rapidement en raison de petits riens mal maitrisés, les transalpins nous font subir un suspens intense avant de finir par s’imposer 22-15 devant des Irlandais bien désemparés.

Le second match, Pays de Galles/Angleterre sera le gros morceau de la journée. Finale du Tournoi aux enjeux doubles, remporter la compétition pour les deux équipes et une possibilité de Grand Chelem pour les Anglais. Peu de choses à dire, si ce n’est empiler les superlatifs tant ce match fut magnifique, d’intensité, de puissance, de débauche d’énergie, de vitesse. Les Anglais ont bien joué mais aujourd’hui personne ne pouvait battre des Gallois survoltés au milieu de leur public en folie. Les Blancs résistent une heure mais après le premier essai encaissé à la 56’ on devine que les carottes sont cuites pour eux et ils s’inclinent, terrassés par un ahurissant 30-3. Aucune discussion possible, le Pays de Galles comme l’an passé, remporte le Tournoi. Superbe !

Après cela, j’avoue piteusement que je n’ai pas eu le courage de regarder la France se débattre entre ses démons et les Ecossais. Certes notre XV empoche une victoire (23-16), la seule, mais finit bon dernier d’une épreuve complètement ratée pour les Français. J’espère que dirigeants et joueurs sauront se poser les vraies questions et qu’ils y apporteront de bonnes réponses… ?

130318 Bruit des glaçons.jpgDimanche sur France2 pour le film de Bertrand Blier (2010) Le bruit des glaçons avec Jean Dujardin et surtout Albert Dupontel, un comédien au charisme étrange particulièrement bien choisi pour incarner ici le cancer d’un écrivain célèbre ! Un film à l’humour noir comme Bertrand Blier sait les faire, avec des dialogues savoureux. Pas mal, intéressant en tout cas.

 

Peu de télé cette semaine, j’essaie de ne plus (trop) mettre le nez dans les séries. Quand on commence à y mettre un doigt, comme pour les pots de confiture, il est difficile de savoir s’arrêter à temps. 

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