Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/12/2013

Ma semaine télé du 23 au 29 décembre

« J’ai allumé la télévision. Dans Police Woman, Angie Dickinson buvait un cocktail dans un bar miteux, avec un type en veste de cuir. C’était une rediffusion du film que j’avais vu dans le New Jersey. J’ai monté le son et je me suis assis dans le fauteuil relax de Melvin. » Michael Collins Les profanateurs

 

Lundi sur ARTE avec ce film de Marcel Bluwal (1963), Carambolages, pas très connu me semble-t-il, alors qu’il est excellent. Jean-Claude Brialy, petit employé d’une agence de voyages, convoite une place dans la hiérarchie de l’entreprise dirigée par Louis de Funès… Avec aussi, Michel Serrault et une courte apparition finale d’Alain Delon. Très bonne soirée.

Vendredi sur France2, Les petits meurtres d’Agatha Christie. Sans dire que je suis un inconditionnel de cette série, sa diffusion parcimonieuse en fait son principal attrait. J’ai finalement adhéré à l’humour au second degré du commissaire et de sa secrétaire, hélas, je ne supporte pas le jeu de la jeune journaliste coéquipière du commissaire, plus que lourdingue et gros bémol pour ce programme qui reste sympathique.

charlot, télévision, Dimanche soir sur ARTE avec Charlot dans Les temps modernes (1936), un des chefs-d’œuvre du cinéma. Drôle, émouvant, lucide et prémonitoire, le tout dans un seul film ; à côté de cela, les programmes des autres chaînes, bien qu’en couleur eux, avaient une mine bien pâle.

Les vacances de Noël sont pour moi la pire période pour la télé. Les programmes gnangnans rivalisent avec les bêtisiers archinuls et le tout baigne dans cette ambiance nunuche typique de cette période. Que les enfants y trouvent leur compte, je le comprends et c’est parfait, mais moi j’ai eu de la peine à trouver mon bonheur. J’ai tenté des films d’animation mais sans tenir la distance et quand j’ai voulu replonger dans les souvenirs cinéphiliques de ma jeunesse avec Jerry Lewis, j’ai constaté qu’il avait bien vieilli et que ce n’était plus amusant du tout. Je ne vais pas râler pour autant, la période s’y prête mal, je réserve mes forces pour les mois à venir, j’en aurais certainement besoin !

 

Les commentaires sont fermés.