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17/02/2014

Ma semaine télé du 10 au 16 février

« Dans une petite cahute, une télévision communautaire grésille. C’est un poste noir et blanc dont l’image est si brouillée qu’on la devine plus qu’on ne la voit. On dirait une chaîne cryptée. » Bernard Ollivier  Longue marche

 

Mardi, embarquement pour 6TER avec le film de Simon Cellan Jones (2004), La revanche de Sherlock Holmes. Rupert Everett tient le rôle titre et le détective doit démasquer un tueur en série de jeunes filles. Pour du Sherlock Holmes ce n’était pas terrible, mais pris comme un simple film policier, ça m’a fait passer la soirée.

Mercredi sur ARTE film de George Clooney (2002) réalisateur et acteur de Confessions d’un homme dangereux. Un homme de télévision se fait engager comme tueur pour le compte de la CIA. Si je n’ai pas été emballé plus que cela, il y a avait néanmoins un ton et une manière de filmer qui méritait de voir ce film. Outre Clooney, il y avait aussi Sam Rockwell, Rutger Hauer et Julia Roberts.

Jeudi sur France3, un film de Michel Delgado (2008), Bouquet final, avec Didier Bourdon et Bérénice Bejo. Le milieu des Pompes funèbres et des enterrements avec un mariage à la fin. Souriant et amusant quand on n’est pas exigeant.  

Vendredi sur M6 je retrouve la série Elementary avec son Sherlock Holmes moderne secondé par une madame Watson ; lui, a des tics faciaux, elle, affiche un masque asiatique imperturbable. Des épisodes pas terribles, le genre qu’on regarde comme on écoute une musique de fond, sans chercher à analyser ou disséquer sinon on éteint le poste.

Samedi sur France3, Le sang de la vigne, la série avec Pierre Arditi. Le vin jaune du Jura ne nous a pas sauvés de l’ennui poli distillé par l’épisode et Jean-François Stévenin (qui m’a paru bien malade) n’arrangeait pas les choses. Encore un beau gâchis de pinard.

1402 Grande illusion.jpgDimanche sur ARTE car on ne peut négliger les classiques. Aujourd’hui, La Grande illusion de Jean Renoir (1937) avec Jean Gabin, Pierre Fresnay et Erich von Stroheim auxquels le Noir&Blanc va si bien. Deux aviateurs français tentent de s’échapper d’un camp de prisonniers. Un des rares films sur la Grande Guerre que je regarderai cette année pour les commémorations.

 

Deux Sherlock Holmes dans la même semaine, ce n’est plus de la gourmandise, c’est du vice. Heureusement que le film de Jean Renoir est venu sauver ma semaine de télé car elle ne valait pas tripette… 

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