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08/07/2014

Chrissie Hynde : Stockholm

rock, chrissie hynde, the pretenders, Si le rock était un homme, ce serait Keith Richards – guitariste des Rolling Stones - mais s’il était une femme, ce serait Chrissie Hynde. Depuis toujours, la chanteuse/leader des Pretenders, groupe qui connu ses heures de gloire dans les années 80, a représenté pour moi tout le côté sexy offert par le rock. Le chaud et le froid, le cuir et la sensualité, le look et l’allure. Impeccable Chrissie.

Le CD qui vient de paraitre, Stockholm, est en fait son premier album en solo. A cheval entre rock et pop, les rockers puristes risquent de faire la moue et ce n’est pas sur ce terrain que je leur porterai la contestation. D’ailleurs, aucune critique négative de cet album ne me touchera. Je me fiche complètement de ce qu’en diront tel ou tel !

Moi j’ai là, un disque tout à fait correct à me mettre dans l’oreille et réentendre la voix de Chrissie suffit à mon petit bonheur personnel. Son timbre inimitable, chaud et musclé, comme une caresse dont je ne me lasse jamais, éveillant en moi des sensations troubles et brûlantes ; à cela je ne renoncerai jamais.

En plus, le CD n’est pas trop mal. Dès l’entame avec ce You Or Not One ou le suivant, Dark Sunglasses paru en single, entrainant et craquant. On tendra une oreille intéressée vers A Plan Too Far, attiré par la sonorité de la guitare et amusé quand la lecture du livret révèlera qu’il s’agit de John McEnroe qui officie au manche, lassé de celui de ses raquettes de tennis très certainement. Dans le même ordre d’idée, sur Down The Wrong Way, c’est le père Neil Young qui y met son grain de sel à six cordes.

Au final, un disque globalement réussi, surtout pour les fans de la dame, certes, certes….  

 

 

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