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19/12/2007

La femme est l'avenir de l'homme

Louis Aragon amplifié par Jean Ferrat l’avait annoncé, la femme est l’avenir de l’homme et il est vrai qu’on ne peut lire le journal ou écouter les informations sans que l’une d’elles ne fasse les gros titres. La femme du premier des Français était promise à un bel avenir, son visage triste, ses absences imprévues et déroutantes, son aller-retour auprès de son mari, Cécilia avait déjà placé la barre assez haute mais pas très longtemps puisqu’aujourd’hui elle n’est déjà plus qu’une ex remplacée par un top-modèle, Carla Bruni – tant qu’à faire autant prendre une beauté qui sera très assortie au yacht ou à la Rolex – qui sous des airs de sainte n’y touche en a mis plus d’un sur le flanc. Le pire est donc toujours possible. C’est ce que doit penser Laure Manaudou qui après avoir défrayé la chronique en quittant un Lucas d’entraineur pour son Luca d’ « amor » se voit  à nouveau propulsée à la une des journaux avec des photos olé-olé dont l’origine de la diffusion sur Internet n’est pas encore connue mais qui coïncident avec sa rupture avec l’Italien. Vous n’aurez certainement pas manqué non plus, les photos dans Match de Rachida Dati (Ministre de la Justice pas moins) en bas résille et bottes à talons aiguille, tout un programme … Oh ! Oui maîtresse, qui lui permettent de distancer Rama Yadé encore trop tendre et qui fait pâle figure, si j’ose écrire. Enfin nous n’oublierons pas celle dont on parle sans cesse mais qu’on ne voit pour ainsi dire jamais, Ingrid Betancourt dont les dernières images parvenues jusqu’à nous, la montre en piéta aux mains vides. Vous constaterez que toutes ces dames ont un point commun, elles ont toutes été approchées par Nicolas Sarkozy (sauf la nageuse, à ma connaissance ?) qui avait déjà été au centre d’un évènement, son duel final pour l’Elysée avec Ségolène Royal première femme arrivée aussi loin dans ce type d’élection. Etonnant, non ? Nous terminerons cette chronique comme nous l’avons commencée, en chanson :

« Vous les femmes vous le charme / Vos sourires nous attirent nous désarment / Pauvres diables que nous sommes / Vulnérables, misérables, nous les hommes »